mai 2015 (6)


mercredi 20 mai 2015

Leyla (2), de Renée-Claude Barret



« Une grosse crise d’angoisse… » C’est ce que Maman vient de dire au téléphone. Sûr que c’est papa qui appelle. Comme chaque dimanche soir. C’est notre rendez-vous à nous. Pour rien au monde, je ne voudrais le manquer. Mais ce soir,  j’ai honte. Trop honte de moi. Je ne veux pas lui parler. Je ne  […]


mardi 19 mai 2015

8ème séance - Atelier d’écriture 2014-2015 Mercredi 20 mai : Fenêtre sur...

Fenêtre sur…     Thème du jour : Fenêtre sur l'extérieur / sur l'intérieur… Fenêtre sur le monde, fenêtre sur soi.     Séance du jour : Le narrateur décrit ce qu'il voit de sa fenêtre, de la fenêtre, d'une fenêtre, ouverte ou fermée, ce qu'il voit du monde, de l'extérieur. Cette ouverture sur  […]

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T'as voulu voir la mer !, de Dominique Guerville



Dans mon esprit faire la plonge dans un restaurant ne devait pas être plus compliqué que faire la vaisselle à la maison, c'est une tâche qui n'a rien de passionnant, mais n'ayant pas le choix il allait falloir que je m'y mette. An Binh m'a fait visiter le local qui se situait dan la cour à  […]


Un escalier, de Dominique Guerville



J'ai eu un début de semaine agité, notaire, expert, recherche d'une bibliothèque, installation dans l'appartement cela représente beaucoup de tâches à mener de front pour un seul homme. Pour reprendre les choses dans l'ordre je peux néanmoins tirer un bilan positif de mes démarches: ·      Après  […]


dimanche 17 mai 2015

7ème séance - Atelier d’écriture 2014-2015 Mercredi 15 avril



   Thème du jour : Esprit d'à propos ou esprit d'escalier… L'escalier comme état d'esprit.     Séance du jour : Le narrateur décrit, inscrit son/ses personnage/s autour de l'escalier, il peut faire coïncider l'état d'esprit du personnage avec la description de l'escalier, ou créer un décalage, une  […]


Variations autour de l'escalier, de Aline Henry



Le grand miroir est là, imposant, implacable, sur le palier intermédiaire. On se demande bien ce qu'il y fait, car il n'y a aucune raison de s'arrêter là. Pas de porte attenante. C'est juste peut-être une halte pour les jambes fatiguées, encore que la première volée de marches n'en compte que onze,  […]