Thème de l’année : « Imaginer-raconter »
Thème du jour : Clôturer…
Séance du jour : Retour sur l’année ; réflexions, commentaires.
Prévisions pour l’an prochain.
Lecture des textes commencés : retour du groupe sur les essais, ébauches…
Écriture :
- Continuez à écrire pendant l’été, l’apprentissage demande du suivi et de la constance…
Quelques lectures : quelques romans lus
- Mathieu Belezi, Le petit roi (réédition d’un roman publié en 1998, un enfant rejeté par ses parents, élevé par son grandpère, d’une grande force)
- Timothée Demeillers, Jusqu’à la bête (Un homme en prison, à cause d’un « évènement », une vie broyée par les abattoirs, une vie hors du monde, excellent)
- Camille FroideveauxMetterie, Pleine et douce (premier roman de cette philosophe spécialiste du féminisme, plusieurs destins de femmes qui s’entrecroisent…)
- Philippe Djian, Sans compter (un art de l’ellipse intéressant, dans un roman dont le sujet ne retient pas vraiment l’attention)
- Yves Ravey, Taormine (un couple en vacances en Sicile, une sortie du chemin direct, un enfant migrant mort, un cas de conscience…)
- Céline Flécheux, Revenir (un essai sur le retour, on a beaucoup écrit sur les départs, peu sur les retours, un parcours parmi les retours dans la littérature)
À suivre : Douglas Kennedy, Et c’est ainsi que nous vivrons.
Et si vous ne les avez pas encore lus :
- Clément Benech, Un vrai dépaysement (Un jeune prof de milieu bourgeois qui rêve du bout du monde et se retrouve au fond de l’Auvergne, réjouissant)
- Louise Mey, Petite sale (Une petite fille disparait alors qu’elle est sous la garde de la bonne, une plongée dans un univers de pouvoirs à la campagne à la fin des années 60)
- Rouda, Les mots nus (Plongée dans le monde des quartiers, de la prison, des mots qui sauvent)
- Jonathan Coe, Le royaume désuni (Une famille anglaise de la fin de la guerre à nos jours, une forme de déclin jusqu’au Brexit)
- Javier Marías, Un cœur si blanc (cheminement lent et profond pour retrouver des vérités qui font peur, que nous ne voulons pas voir)
- Sandrine Collette, Nous étions des loups (un roman d’une écriture sans relâche pour exprimer la violence et la force de la relation à la nature et d’une construction père-fils)
- Yannick Haenel, Le Trésorier-payeur (une histoire forte et farfelue, en fait pas tant que ça, sur les chiffres et leur manipulation, un employé de la banque de France bon samaritain +++)
- Lucie Rico, GPS (quand un outil numérique tourne à l’obsession, une femme à la recherche de son amie disparue qu’elle suit grâce à son GPS, elle oscille entre rêve et réalité, jusqu’à la fin qui remet de l’ordre)