Louis XIV se trouvait alors effectivement attaqué par une fistule au niveau du croupion, et il fallut procéder à une opération chirurgicale qui n’était pas sans risque, mais qui fut parfaitement réussie par Charles-François Félix (il est vrai qu’il s’était auparavant entraîné sur des malades des hospices de Paris).

La réussite étant totale, la Mère supérieure de l'École des demoiselles de Saint-Cyr décida de remercier le Créateur en versifiant un poème à la gloire du souverain.      L’œuvre plut à ce dernier, qui demanda à Lully de la mettre en musique.

C’est ainsi que Grand Dieu sauve le Roi fut chanté à chaque fois que le souverain se rendait à l’école de Saint-Cyr (fondée par Madame de Maintenon) et serait peut-être tombé dans les oubliettes à la mort du souverain si G.F. Haendel n’était pas passé par hasard en 1714.

Le compositeur né en Allemagne vivait alors à Londres, où il était le musicien en titre du Roi Georges Ier.

Les paroles furent traduites par un certain Harry Carrey, et Haendel présenta l’œuvre au souverain après l’avoir signé de son nom - de son nom à lui !.

C’est ainsi que qu’un texte français traduit en anglais sur une musique française que s’appropria un Allemand devint l’hymne national anglais sous le nom de God save the King…

Il existe d’autres versions sur l’origine de cet hymne national, mais celle-ci est la plus rigolote.


WESTERMANN (FRANÇOIS-JOSEPH) (1751-1794) :

Général sans doute un peu trop révolutionnaire, qui fut chargé de remettre de l’ordre en Vendée fin 1793.

 

Ce qui fut fait.

 

Des dizaines de milliers de morts – hommes, femmes et enfants – suivront (la Vendée conserve un très, très, très mauvais souvenir de la période révolutionnaire).

Le général était très content, et écrivit le soir même à la convention : Il n'y a plus de Vendée, elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l'enterrer dans les marais et dans les bois de Savenay. Suivant les ordres que vous m'avez donnés, j'ai écrasé les enfants sous les pieds des chevaux, massacré les femmes qui au moins pour celles-là n'enfanteront plus de brigands. Je n'ai pas de prisonnier à me reprocher, j'ai tout exterminé… Nous ne faisons pas de prisonniers, car il faudrait leur donner le pain de la liberté, et la pitié n'est pas révolutionnaire...

Certains durent estimer qu’il avait quand même un peu trop tiré sur la ficelle (15 000 Vendéens massacrés les 12 et 13 décembre), et les temps ayant – enfin ! – quelque peu changés, on fera monter sur la bascule le boucher de la Vendée[1][1], et il sera guillotiné le 5 avril 1794, car, il n’était pas resté, tout comme son ami Danton, dans le ton de la révolution.

Mais les voies de l’amour étant impénétrables, on lui conservera malgré tout beaucoup d’affection ; il existe en effet plusieurs rues Westermann dans notre beau pays (mais pas en Vendée !).

Et je laisse le mot de la fin au général Louis Marie Turreau de Garambouville, organisateur des Colonnes infernales en décembre 1793 :

 

La Vendée doit être un cimetière national.

 

Mission accomplie


HAUTEUR (DROITS D’ - ) :

C’est en novembre 1686 qu’il fut nécessaire à la médecine de s’occuper des fondements de la royauté.

Louis XIV se trouvait alors effectivement attaqué par une fistule au niveau du croupion, et il fallut procéder à une opération chirurgicale qui n’était pas sans risque, mais qui fut parfaitement réussie par Charles-François Félix (il est vrai qu’il s’était auparavant entraîné sur des malades des hospices de Paris).

La réussite étant totale, la Mère supérieure de l'École des demoiselles de Saint-Cyr décida de remercier le Créateur en versifiant un poème à la gloire du souverain.      L’œuvre plut à ce dernier, qui demanda à Lully de la mettre en musique.

C’est ainsi que Grand Dieu sauve le Roi fut chanté à chaque fois que le souverain se rendait à l’école de Saint-Cyr (fondée par Madame de Maintenon) et serait peut-être tombé dans les oubliettes à la mort du souverain si G.F. Haendel n’était pas passé par hasard en 1714.

Le compositeur né en Allemagne vivait alors à Londres, où il était le musicien en titre du Roi Georges Ier.

Les paroles furent traduites par un certain Harry Carrey, et Haendel présenta l’œuvre au souverain après l’avoir signé de son nom - de son nom à lui !.

C’est ainsi que qu’un texte français traduit en anglais sur une musique française que s’appropria un Allemand devint l’hymne national anglais sous le nom de God save the King…

Il existe d’autres versions sur l’origine de cet hymne national, mais celle-ci est la plus rigolote.


SKOPTIQUE (SYNDROME  -  ) :

                   Échappe sans doute aux dames, car il s’agit-là d’un désir spécifiquement masculin, assez peu répandu dans nos contrées occidentales, mais encore assez couru en Inde, en notre belle époque du troisième millénaire.

Il s’agit de la folle envie d’être un eunuque, et les fanatiques  - les hijras - ne font pas les choses à moitié, puisque nombres d’entre eux (on évalue à un million le nombre d’individus découpés) se font enlever la totalité du service trois pièces.

                   Et j’ai trouvé sur le site sexologie-magazine.com/histoire/Hijras.html cette bien belle phrase : Les communautés hijras sont dirigées par un gourou, elles comptent le plus souvent une vingtaine de membres.

 

SÉDUCTION :

Chacun a ses petits trucs.

Ex : Sachant qu’elle se retrouverait rapidement sens dessus dessous avec lui, elle n’avait pas mis de dessous dans le but d’avoir le dessus.

 

CONSTRUPATION :

Si, si, ça existe : pour le système juridique, il s'agit d'un viol .

 

PHILOSOPHIE DU JOUR :

Ce serait bien que Dieu, Allah et autres règlent leurs problèmes eux-mêmes, plutôt que de faire appel à du petit personnel.

DÉFLORATION :

Passage du domaine pudique au domaine public.

 

DIALOGUE (MORCEAU DE  -  ) :

                        D’une grande inspiration :

Je me retrouve tout seul en prison comme un enculé.

France 2,

20-03-11 - 21 h 43.

 

FRANCE TÉLÉCOM :

En 2011, l’entreprise en est à plus de soixante suicides parmi ses employés. Il est vrai que leurs dirigeants, en leur donnant des ordres, leur ont toujours demandés de s’exécuter.

 

GAGA (LADY  -  ) :

Je confirme : ses prestations musicales concernent le troisième âge.

 

JOUISSANCE :

Les sens, ciel !

 MANIE :

Symptôme à tics.

Sénatoriales:

Dans le symbolique département des Hauts-de-Seine, Isabelle Balkany (UMP), très proche du président de la République, a été battue, après avoir déjà perdu, aux cantonales de mars, son siège de conseillère générale.

                      Il y a de l'ANPE dans l'air...
_________________________________________________

            J’ai du mal à me tenir au courant :

Maintenant que j’ai payé ma dette au blues et au metal, je fais de la dance music à ma façon. Un genre de kraurock à la Tangerine Dream, avec un beat disco.

Arnaud Rebotini

Télérama sortir, n°3219, p. 5.

PHILOSOPHIE DU JOUR :

Toutes les religions sont des chantages.

 

EXTRATERRESTRE :

Arte diffuse ses programmes à l'heure.

 

PSYCHANALYSE :

Début de moi difficile.

 

ÉTERNITÉ :

Risque de paraître long.

 

QUESTION :

La philosophie oui ! Mais jusqu’à Kant ?

 

CONTAGION :

Les mycoses de nos ami(e)s sont nos mycoses.

 

BANQUE :

Le bonheur est dans le prêt,

Cours-y vite, cours-y vite !

Le bonheur est dans le prêt,

Cours-y vite, il va t'enfiler.

Léger détournement d’un poème de Paul Fort).

 

SARATOGA :

Porte-avions quelque peu décati que les USA ont mis sous une bombe atomique le 25 juillet 1946 pour voir l’effet que cela lui ferait.

Cette bombe fut très jolie à voir fonctionner (cf. P.J.) (avec, en prime, un petit tsunami d’une trentaine de mètres de haut), mais le Saratoga a mis sept heures avant de couler.

Lorsque le croiseur anglais Hood fut canonné par le Bismarck le 24 mai 1941, il coula en quelques minutes. (3 survivants sur 1419 hommes d'équipage).

 BANQUES :

Ont la foi dans le monde financier qu’elles représentent, et demandent à leurs ouailles le credo dans le crédit.

 

FUME (TIENS  -  !) :

On fait la même chose avec les sachets de coke, que le responsable de la distribution aux dealers bénit souvent avec de l’eau de Lourdes, dans l’espoir que les lots ne tuent personne, (…).

Roberto Saviano

Gomorra, Folio, p. 348

 ÉTERNITÉ. :

Grève de la fin.

 DISPUTE :

Deux guitaristes se sont disputés ; pas de trace de luth.

 

SARCOME DE KAPOSI :

 Lié à l’infection par l’herpès virus humain HHV8.

 

C’est uniquement pour ceux qui aiment les mauvais calembours.

 

J’aime.

 

GAGATÉLÉBÉBÉ :

Une question difficile :

Citez le titre de l’épisode que vous allez voir

TF 1,

25-03-10, 20 h 49.

(Et en bien d’autres occasions…)

 

Ouahhh, c’est dur ! Ah, j’oubliais : il faut bien sûr payer le message sms, plus le surcoût, mais on peut bien sûr gagner quelque chose.

           

                       Mais ça vaut sûrement le coût… pardon, le coup.

 

MUNICH :

         Film de Steven Spielberg, dans la version française duquel on trouve dans le premier quart d’heure cette belle traduction : Neuf ont été tués ; ils sont tous morts.

 RELIGIONS :

Les hommes doivent les respecter.

 

Respectent-elles vraiment les hommes ?

 

 GELOVANI (MIKHAÏL  -  ) (1892-1956) :

Acteur géorgien qui, à partir de la fin des années 1930, jouera le rôle de Staline à l’écran. Il assumera le travail une douzaine de fois, et n’avait d’ailleurs pas le choix, puisqu’il lui sera alors interdit d’interpréter d’autres personnages.

Pour rester dans la même ambiance, il aura droit au prix Staline en 1941, 1942, 1947 et 1950, et finira artiste du peuple en 1950.

 

 

BEURK :

J’avais pris l’avion de New York à Chicago en portant un énorme sac rempli de bonnes choses pour mon « brooklynien » de mari – une douzaine de hot-dogs casher de chez Kuhn’s, plusieurs livres de salami casher et du cheese cake à la new-yorkaise.

Elisabeth Kübler-Ross,

Mémoires de vie, mémoires d’éternité.

Pocket, p.252.

 

Je viens de lire ce bouquin pas du tout inintéressant, mais, à part ce passage nutritif,  je suis très intrigué par la troisième partie de l’ouvrage, quand l’auteur se met à fréquenter ce que j’appellerais, disons, des « mondes parallèles ».

Je suis quelque peu perplexe de l’évolution psy de cette femme médecin, psychiatre, thérapeute et thanatologue célèbre dans le monde entier.

Si quelqu’un a une idée là-dessus…

 

La veille de Thanksgiving, j’étais en train de planter des clous avec mon chef-ouvrier lorsque j’ai eu la très nette impression que quelque chose de très inhabituel allait se produire, quelque chose de positif. J’ai demandé à cet homme de rester avec moi et j’ai fait en sorte qu’il reste éveillé en le bourrant de café et de chocolats suisses. Il pensait que j’étais devenue folle. Mais je lui ai dit qu’il ne serait pas déçu d’avoir attendu tout ce temps. Et, effectivement, tard ce soir-là, alors que nous devisions assis, la pièce s’est remplie d’une lumière éclatante. L’ouvrier m’a regardée comme pour dire : « Mais qu’est-ce qui se passe ? »

« Attendez »,  ai-je lancé.

Puis, graduellement, une image est apparue sur le mur opposé. Nous avons immédiatement compris qu’il s’agissait de Jésus. Il nous a bénis, puis il a disparu. Il est revenu encore une fois, puis il est reparti pour revenir une dernière fois. Il m’a demandé d’appeler la ferme Healing Waters. « C’est un nouveau départ, Isabel. »

Id, p. 311-312.

 

Et Jésus-Christ qui arrive au moment où elle était en train de planter des clous…

 

C’est le troisième tiers de ce livre qui me laisse un peu rêveur, car on y fait de plus en plus tourner les tables (entre autres).

 

Si quelqu’un(e), parmi vous, ô mes lecteurs, a lu ce livre, son avis m’intéresse.

 

 

 

 

[1][1] Notons, pour la …heu… bonne bouche, que sa maison natale, 8, rue de Saverne, à Molsheim (Bas-Rhin), fut une boucherie-charcuterie pendant trois générations…

 

 

HAUTEUR (DROITS D’ - ) :

C’est en novembre 1686 qu’il fut nécessaire à la médecine de s’occuper des fondements de la royauté.

Louis XIV se trouvait alors effectivement attaqué par une fistule au niveau du croupion, et il fallut procéder à une opération chirurgicale qui n’était pas sans risque, mais qui fut parfaitement réussie par Charles-François Félix (il est vrai qu’il s’était auparavant entraîné sur des malades des hospices de Paris).

La réussite étant totale, la Mère supérieure de l'École des demoiselles de Saint-Cyr décida de remercier le Créateur en versifiant un poème à la gloire du souverain.      L’œuvre plut à ce dernier, qui demanda à Lully de la mettre en musique.

C’est ainsi que Grand Dieu sauve le Roi fut chanté à chaque fois que le souverain se rendait à l’école de Saint-Cyr (fondée par Madame de Maintenon) et serait peut-être tombé dans les oubliettes à la mort du souverain si G.F. Haendel n’était pas passé par hasard en 1714.

Le compositeur né en Allemagne vivait alors à Londres, où il était le musicien en titre du Roi Georges Ier.

Les paroles furent traduites par un certain Harry Carrey, et Haendel présenta l’œuvre au souverain après l’avoir signé de son nom - de son nom à lui !.

C’est ainsi que qu’un texte français traduit en anglais sur une musique française que s’appropria un Allemand devint l’hymne national anglais sous le nom de God save the King…

Il existe d’autres versions sur l’origine de cet hymne national, mais celle-ci est la plus rigolote.