deux chênes déployaient jusqu'à l'automne
très bas leurs feuillages
Il y avait là venus d'autres automnes
des milliers de brindilles mortes
des insectes en errance dans une herbe jaunie
Tout un monde qui nous échappait et conversait
par scintillements et tendresses de racines
Publié avec l'aimable autorisation de l'auteur.
Georges BONNET, Un ciel à hauteur d'homme, L' Escampette Editions Poésie 2006
Poème (2) de Georges Bonnet
vendredi 27 juin 2008. Lien permanent Poèmes › Georges Bonnet
Le long des barbelés d'un enclos