Un peu terreux, gracieusement filandreux, lourd d'épuisement. Je te secoue, pousse et jette dans un coin ennuyé. Mais les ténèbres me mangent alors te serre à faire luire tes yeux de bouton nacré. Alors t'étouffe à tordre ton corps cousu de cicatrices pelotées. La horde humaine jamais ne la plaindra, mais la pendra au clou des idées bien-pensantes en la peinturlurant d'habits satisfaits. Recadre-toi, poupée de chiffons. Je te fais exploser de joie, souffle en liesse tension dévastatrice et je te rage de vivre ! Tu t'échappes de mes mains... Il est grand temps d'acheter du naturel, à nous deux, si tu veux je peux. Je crayonne et tu rayonnes. Je danse et tu songes. Je suis et tu hais.
Suivons paresseusement le souffle d'une poupée de chair et de sang.
...déjà envolé.