Architecture:
De sa naissance à nos jours, le patrimoine architectural de G. n’a jamais cessé de s’enrichir et d’évoluer. De nos jours, G. se caractérise par une architecture assez classique composée de 2 bras et 2 jambes reliés par un tronc assez joliment décoré. On trouve encore les premières traces d'humanisation à travers la présence d'un nombril "nombrilum" ayant probablement servi à des rites de naissance (circa 1970).

Invitation au voyage :
Vous trouverez en page une du guide de G. des circuits recommandés suivant le temps que vous avez à consacrer à la visite: intéressant *, mérite un détour**, vaut le voyage***.
Beaucoup de visiteurs se contentent de traverser le pays pour aller s’établir dans les régions les plus méridionales les le temps de leur séjour. Il est vrai que cette région (appelée Basse Contrée) présente des intérêts touristiques évidents, célèbre pour ses paysages si éloignés des nôtres. Mais se contenter de cette approche du pays serait une erreur : nous ne pouvons que recommander à nos lecteurs de prendre au contraire le temps d’explorer l’ensemble des régions proposées avant de profiter des installations touristiques des basses contrées.
Parmi les diverses routes qui cheminent jusqu’aux basses contrées et à leurs monuments, la Via Dorsa, passant par le revers, descend à travers la nuque, les dorsaux, et les massifs fessus. Les pèlerins épris de reliefs à masser et de randonnées chatouilleuses choisiront plutôt cet accès. (circuit de 1m75, environ 20mn. Quitter la tête en empruntant la fossette de l’occiput, continuer toujours tout droit.)
Inversement, on peut préférer la voie Fronta qui propose des visites de monuments tout au long du trajet. Intéressante visite des claviculus , du célèbre nombrilum et de la plaine du ventre.
Pour une excursion plus bucolique, vous ne manquerez pas de faire un arrêt à Poilsiperd. (40cm de large, 10mn de promenade ombragée):
Le bois de Poilsiperd décore les légers vallons du torse. S’il peut surprendre dans un premier temps par l’emplacement sur lequel il s’égaille, il ne manquera pas de vous réserver des heures d’exploration. Eloignez vous des chemins fléchés et égarez-vous dans les profondeurs des ombres.

Sur la route :
Prenez le temps de flâner, les endroits inexplorés où personne ne s’attarde deviendront alors vôtres. Un pli du coude, l’intérieur d’un poignet, la fossette d’une épaule sont autant de sites qui ne peuvent aujourd’hui être détaillés dans les guides et sur lesquels vous tomberez par hasard au gré de vos errances. Laissez vous séduire par les ténus reliefs, et explorez en profondeur la zone. Les autochtones seront sûrement ravis de vous voir prendre le temps de vous attarder en des lieux moins touristiques, et s’ouvriront plus facilement aux échanges polyglottes.
Il sera toujours temps de rejoindre les sites plus célèbres, que vous connaissez déjà par les multiples représentations qui ornent souvent les murs des établissements publics.