Et pourtonnant, vous le savez, le celibut est un pluxe. Pourriez vous encouplée, vous espacher de la sorte ?
Vous profitez du mou, et prenez le temps d’ivre. Vous laissez pousser vos pieds, envahir vos nombrils, et enbiaisez vos coudes. Vous épousez chaque soir un canaillepé mougaleux, et vous enmourachez d’un radoteur télé. Avec juste le son, l’image s’est carapabinée, et vous avez la flegmme de patouiller le cable.
Vous vous pintabimez les narines à coup de poire. 1962, l’année de sa naivrance, p’tit bon, il n’avait qu’à l’encartonner avec ses Zeidegger. Tant que vous y fêtes, vous vous collez une prune.
Et puis, toute bourrivrée, allez donc pour un bain. Vous marinadez deux heures, du homarouge au bleuserré. Vous sortez vous coucher. Vous laissez la baignoire s’ensiphoner le bain mourant. 2 jours plus avancés, vous en sniffez la croute, direct sur l’email
. Vous ressassez des pieuvres au bout du téléphone. Vos amères sont comme vous, y’a de quoi radonter. Une nuit Msn passée au Canatoi, le nivgaud des échanges laisserait à désirer, si ce n’était si plaisiblant de déverser vos glousses.
Et puis, il y a la musaille, à fond vers le plafond, les oreilles en mesure, toujours votre prestiférée, celle qu’il n’aimerait pas. Et aussi l’écrivure, de loin le plus abusant. Un trésorusure de toute seule, des préciolombes les doigts dans le clavier, personne ne vous râle.
Vous ectripez un texcriture qui craspocatue votre imaginavrante. Qu’importe, vous le sortez du braque, on est là pour se fendre. Vos amers vous debloggent, des zintrangers vous fraillent. Foutreplume, cornevit, vous ne voulez pas de sombres qui ratissent vos décalires. Qu’ils les secouent, les décapsulent, radabor ! Qu’ils vous estonorent hysteralante ou rétabissent la biblereine minicipale. Plus zerponne ne vous tribunamentale. Apene.

NB: Vous pouvez consulter les textes de Michèle Lessaire en écrivant son nom sur le carouche de la rubrique Rechercher een haut de l'écran à droite.