Dans la chambre j’ai peur
Que tu ne veuilles plus
Que la chaleur soit morte
Que close soit la porte
Que j’ouvrais toujours nu


J’approche du silence
Et l’éprouve de près
Non : la joie recommence
Sur ta gorge le grès
A repris des couleurs

En cet instant parfait
Je voudrais et mourir
Et vivre à tout jamais

Je te réveillerai
Pour d’autres souvenirs.

FG 2006.
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