Thème de l’année : « Imaginer-raconter »

Thème du jour : Escalier

 

Séance du jour : Notre atelier d’écriture narrative s’inscrit cette année sous le signe de l’imagination. Nous écrirons bien sûr un ou des récits, avec des personnages, un ancrage dans un lieu, une époque, mais en nous laissant guider par notre imaginaire. Nos personnages, lieux, pourront bien sûr s’inspirer de la réalité, mais nous essaierons au maximum de laisser parler notre imagination. Le thème de cette 2ème séance est : Escalier…

 

Lecture des textes commencés : retour du groupe sur les essais, ébauches…

 

Écriture 

  • Laisser venir à nous l’escalier à partir notamment de l’image jointe, en laissant s’exprimer nos sens, vue, toucher, odeur, ouïe, et en sollicitant notre mémoire. 
  • Échange collectif.
  • Soit continuer son texte commencé en y ajoutant l’escalier, soit démarrer un texte nouveau..

 

Pour la séance prochaine :

  • Continuer son récit. 
  • L’envoyer si possible avant fin octobre. 
  • A la prochaine séance chacun·e lira son texte (ou une partie) au groupe, et dira ses essais, ses hésitations, ses doutes…

 

Quelques lectures : (revue de romans lus sans forcément de rapport avec le thème)

  • Sandrine ColletteNous étions des loups (un roman d’une écriture sans relâche pour exprimer la violence et la force de la relation à la nature et d’une construction père-fils)
  • Blandine Rinkel, Vers la violence (récit d’une fille sur son père violent, mais aussi plein d’imagination, la manière dont elle se construit entre besoin de violence et amour, fort et sensible)
  • Maria Larrea, Les gens de Bilbao naissent où ils veulent (un roman sur la recherche d’origines, le Pays basque, l’immigration espagnole et le franquisme)
  • Yannick Haenel, Le Trésorier-payeur (une histoire forte et farfelue, en fait pas tant que ça, sur les chiffres et leur manipulation, un employé de la banque de France bon samaritain +++)
  • Lucie Rico, GPS (quand un outil numérique tourne à l’obsession, une femme à la recherche de son amie disparue qu’elle suit grâce à son GPS, elle oscille entre rêve et réalité, jusqu’à la fin qui remet de l’ordre)
  • Kaouther Adimi, Au vent mauvais (l’Algérie, la seconde guerre mondiale, la guerre d’Algérie, l’exil…)