Thème du jour : Une contrainte de discours direct

 

Séance du jour : Inclure dans son récit un début de phrase au discours direct, prononcée par un homme. Ce récit pourra continuer le récit précédent, puis se continuer au fil de l’année, ou non…

 

Phrase inductrice de discours direct : « Je me suis perdu, je ne comprends pas... »

 

Contraintes :

-       La phrase est prononcée par un homme, ce qui impose des contraintes aussi bien grammaticales que sémantiques (être perdu…)

-       Le discours direct impose des modes d’insertion : guillemets ou tirets selon le déroulement dialogué

-       Le discours direct fait partie de l’ensemble des formes du discours. Le récit à écrire intègrera cette phrase au discours direct, mais il peut se continuer à différentes formes de discours rapporté, qu’il peut associer, faire alterner.

 

Rappels sur les formes de discours rapporté :

-       Discours rapporté direct : reproduit le discours de manière littérale ; il impose une insertion dans le récit, soit par un verbe de paroles introducteur, soit par l’organisation du récit qui fait parler les personnages. Le discours rapporté direct impose une marque de ponctuation, deux points et guillemets dans le cas d’une phrase isolée, tirets pour un dialogue. Les formes modernes ont évolué.

-       Discours indirect : il est intégré à l’énonciation et est construit comme une subordonnée dépendant d’un verbe de paroles.

-       Discours indirect libre : c’est un procédé littéraire par lequel on rapporte les paroles en les intégrant totalement au récit.

-       Discours narrativisé : on relate les paroles en racontant et résumant ce qui a été dit.

-       Seul le discours direct demande une ponctuation particulière ; les autres formes excluent les ponctuations par guillemets ou tirets.

 

 

 

La forme du texte est une nouvelle : minimum 3500 signes espaces compris (environ une page et demie en police de taille 12).

 

 

 

Prochaines dates : 20 décembre – 24 janvier – 28 février – 28 mars – 25 avril 30 mai – 27 juin