Thème du jour : L’optimisme

 

Séance du jour : À partir de la phrase inductrice « Une fenêtre s’ouvre, tout va bien », nous conclurons l’année en ouvrant sur une note optimiste. La fenêtre peut être remplacée par une autre ouverture, porte, barrière… Nous irons chercher dans nos univers de fiction favoris, nourris de nos expériences, de nos lectures, de notre imagination. Nous mettrons en scène des personnages, une situation, un ou des lieux, qui nous permettront d’exprimer notre optimisme…

 

Rappel. Pour écrire un récit, nous avons besoin de distinguer entre l’histoire que nous voulons raconter et la manière de la raconter.

L’histoire, c’est la fiction, la trame de notre récit, ce que nous imaginons avant d’écrire, que nous nous appuyions sur la réalité ou que nous la tirions de notre imaginaire.

La narration, c’est la manière de la raconter : comment nous allons nous y prendre pour faire comprendre la situation, pour faire imaginer le personnage, les lieux, l’époque. Donner d’emblée, de manière abrupte, les faits et les personnages ne permet pas, bien souvent, au lecteur d’entrer dans notre histoire. Il a besoin de deviner, de s’appuyer sur des détails qui vont lui permettre de construire la situation et les personnages.

C’est sur cette narration que nous allons nous arrêter : pour écrire, demandons-nous d’abord quelle histoire nous voulons raconter ; puis, comment nous allons la raconter pour qu’elle touche nos lecteurs.

 

Lectures : Rappel d’extraits de Candide, de Voltaire – Pierre Raufast : La Fractale des raviolis, La baleine Thébaïde

 

Écriture :

-       Rappel des contraintes :

o   ne pas tout livrer au lecteur d’emblée, lui laisser une part de découverte qui fait fonctionner son imaginaire

o   construire les personnages pour que le lecteur les découvre progressivement

o   installer son récit dans un cadre spatiotemporel

o   le texte fera au minimum 6000 caractères espaces compris (soit environ une page et demie en taille 12)