jupes courtes au ras de l'œil
les années meurent à notre insu
Restent les jacasseries des idées folles
les coquillages où l'oreille se réveille
des souvenirs déboutonnés que l'on fait
refleurir
Des regrets en pélerinage
quelques espoirs en équilibre
comme une échelle ou un chapeau
Publié avec l'aimable autorisation de l'auteur.
Georges BONNET, Un ciel à hauteur d'homme, L' Escampette Editions Poésie 2006
Poème (4) de Georges Bonnet
lundi 1 septembre 2008. Lien permanent Poèmes › Georges Bonnet
Désirs en grappes et robes nues